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guerre civile - Page 2

  • Rennes. Un policier sur les délinquants mineurs non accompagnés : « Il faut les f… dehors ! »

     

       Depuis plusieurs années déjà,  l’écho du coût de l’accueil des « mineurs isolés étrangers » résonne, notamment en Bretagne,  ainsi qu' également des violences et actes de délinquance, de plus en plus nombreux, perpétués par plusieurs centaines d’entre eux.

    Des actes que les collectivités ne peuvent plus masquer, si bien que même la presse mainstream et subventionnée n’hésite pas, enfin, à évoquer un sujet de société fondamental pour les années à venir.

    « La cote d’alerte en Bretagne » titre un quotidien régional concernant les « mineurs délinquants » (trop difficile sûrement de rajouter « étrangers » dans le titre). « Un groupe d’étudiants agressé par des enfants » titrait Le Parisien en évoquant une agression à Brest impliquant notamment un délinquant de 10 ans.

    La police n’en peut plus de ces centaines de "jeunes" (plus de 600 en Bretagne historique), majoritairement issus d’Afrique du Nord, se revendiquant parfois Tunisiens, Libyens le lendemain, Algériens le surlendemain. Aussitôt arrêtés, aussitôt relâchés, car leur statut de mineurs les protège en raison des conventions signées par la France à ce sujet...

    Ce qui fait bondir un policier d’Ille et Vilaine, qui exprime son ras le bol :

    « Ces traités et ces mesures de protection des mineurs ont été prises à un autre siècle, à une toute autre époque. Ils ne sont plus à jour. Il faut prendre ces gamins qui n’ont rien à faire chez nous et les foutre dehors. Nous ne sommes pas des assistantes sociales pour toute la planète qui voudrait venir ici. Ces mesures de protection vis à vis de ces mineurs sont une injure à la démocratie française et aux citoyens français qui sont moins bien traités dans leur propre pays ».

    Si des policiers sortent ainsi de leur réserve (même sous couvert d’anonymat), c’est bien parce qu’ils n’en peuvent plus de voir toujours les mêmes délinquants étrangers dans les rues : « certains nous narguent, car ils connaissent parfaitement le système. Et il y a encore des juges pour leur trouver toutes les excuses du monde alors qu’ils se moquent de nous ouvertement et de nos valeurs …».

    Notre contact admet toutefois penser « qu’ils sont dans un réseau parfaitement organisé ». « Mais c’est très difficile de savoir exactement d’où cela vient : car tout est mélangé,  tout se recoupe, tout se différencie entre réseaux de passeurs, proxénétes, réseaux mafieux».

    Et le rôle des associations de défense des immigrés, très actives pour défendre et exiger des droits pour ce public ? « Ce sont des grands naïfs pour certains, des militants fanatiques pour d’autres qui seraient prêts à tuer père et mère pour déstabiliser le système ».

    Quoi qu’il en soit, le nouveau gouvernement ne semble pas prendre le chemin de la répression et de l’expulsion de ces mineurs non accompagnés, de plus en plus nombreux, violents et incontrôlables, qui écument les villes de France et de Bretagne. « Jusqu’au jour où une victime cessera de l’être et répliquera… y compris sur un gamin de 10 ans qui en parait 18…» poursuit notre contact, qui « appréhende ce moment ; si on ne protège plus la population, ce serait dramatique d’en arriver là. On a vu ce qui s’est passé à Saint-Martin ».

    Des mesures ont été annoncées ce vendredi 15 septembre, conjointement par les ministres de la Justice et de la Santé.  Parmi elles ….le déblocage de 6,5 millions d’euros pour que les départements prennent en charge ces individus. De l’argent donc, et des solutions pour les imposer définitivement sur le sol français alors que des français sans logement dorment dehors tous les soirs dans le froid ! ...

     

  • 900 voitures incendiées lors des célébrations du 14 juillet en France ! ...

    pompiers français

     


    Quelques 900 véhicules ont été brûlés pendant les festivités des 13 et 14 juillet en France, a déclaré le ministère français de l’Intérieur dans un communiqué.

     

     

     

    La police française
     
     
    Selon l'information relayée ce samedi soir par le ministère français de l'Intérieur, 897 voitures ont été incendiées au cours des célébrations des 13 et 14 juillet.

     

    Ce chiffre est en hausse par rapport à l'année dernière, où 855 véhicules avaient été endommagés. À l'époque, 577 personnes avaient été placées en garde à vue.

    D'après le communiqué, la mobilisation des forces de l'ordre a permis de réduire le nombre d'incidents de ce type et d 'en poursuivre les auteurs , mais voyons !...

     

     

  • Comment l’ultra-gauche prévoit de perturber les élections .

     

    anarchistes
     
     

    22/04/2017 – 08H00 Nantes (Breizh-info.com)Pendant que les états-majors et militants des onze candidats sont dans la dernière ligne droite avant le premier tour, toute une frange de l’ultra-gauche fait carrément campagne pour… la guerre civile. Les références sont on ne peut plus claires : l’anarchisme de 1936, Bakounine, la Commune de Paris, la Révolution française, la prise de pouvoir par la rue. Les objectifs aussi : perturber le premier tour des élections, mettre en place un mouvement de masse, perturber l’entre-deux-tours, le second tour aussi, faire un « troisième tour social » où la rue commandera aux urnes. Bastions de l’extrême-gauche, Nantes et Rennes ont toutes les chances de devenir un fer de lance du mouvement.

    Dans un appel qui circule dans les milieux d’ultra-gauche à Rennes, on pouvait lire : « Nous pensons plutôt qu’il est grand temps de reprendre l’offensive, et de nous organiser pour devenir réellement ingouvernables » dans l’objectif de « mettre un terme à la domination capitaliste, au racisme et au patriarcat » par « une révolution sociale, populaire, portée par la base ».

    En ce moment, c’est un autre appel, écrit à Caen, qui fait le tour de la France de la gauche libertaire. « Leurs démocraties sont des régimes bourgeois et conservateurs, dans lesquels la liberté, l’égalité et l’entraide ne sont que des inscriptions sur les frontons des palais. Elles sont le gouvernement du peuple, offrant un simulacre de liberté sous surveillance, sans toucher aux bases de l’exploitation et de la domination : l’argent, la propriété, l’Etat, le capital, les frontières, le patriarcat. Comme les monarchies et les dictatures, elles partagent l’idée qu’il faut des chefs, que ce soit à l’échelle d’un pays, au travail, à l’école, dans la famille », écrivent ses auteurs, qui appellent à « une grève des électeurs et des électrices » et au « sabotage du système électoral ». Ils font aussi l’éloge de la révolution anarchiste : « Pas plus qu’une ville, une révolution ne se dirige et ne se planifie. Elle ne se décrète pas non plus, sans pour autant surgir de nulle part. Nous entendons bien participer à ouvrir des brèches et des possibilités, sans attendre et sans savoir exactement où cela nous mènera ».

     

    Quand le vote FN gêne, bâillonnons le vote

    Ces derniers jours, les militants anarchistes ont multiplié tags et collages contre les élections, tant à Besançon qu’à Nantes ou Rennes. Devant l’école maternelle Molière, dans le centre-ville nantais, les affiches de tous les candidats – Mélenchon y compris – ont été recollées avec des candidats bidons et des slogans anti-vote. Un mystérieux « groupe anarchiste  des Bons enfants » a placardé des affiches libellées : « vous vous foutez des élections ? Ça tombe bien, nous aussi ! Contactez-nous, on se fera une bouffe ». Devant le collège Victor Hugo rue de Bel Air, les affiches officielles ont été taguées «ingouvernables », à raison d’une lettre par candidat, sauf le G qui n’est pas écrit – l’affiche de Mélenchon est intacte. A Paris, le 20 avril, une manifestation sauvage de lycéens a donné lieu à des émeutes et à la dégradation d’une permanence PS.

    La mobilisation contre ce que l’ultra-gauche appelle la « mascarade électorale » a un point de fixation : la possible présence du FN de Marine le Pen au second tour. A cette fin, un « tour de chauffe » est organisé ce 21 avril à 18h devant les mairies des grandes villes. Il s’agit d’une mobilisation en lien avec les syndicats de gauche pour « dire non au FN et à ses idées ». Mais aussi d’un ballon d’essai pour une mobilisation plus populaire qui dépasserait le cercle des anarchistes.

    « Cela dit, si c’est Fillon ou Macron au second tour, soit un facho ou la marionnette des patrons, on prendra la rue quand même », nous affirme Camille, miltant anarchiste sur Nantes. Et Mélenchon ou Hamon ? « Même chose, le premier récupère nos idées, le second succède à Hollande, tous deux sont des valets du système et le système on le nique ».

    Le 22 avril, une manifestation syndicale et militante appelle à « prendre la rue pour imposer notre programme », à Paris place de la République. Sous l’étendard là encore de la lutte contre la précarité, de la continuation du mouvement contre la Loi Travail, du refus du racisme et des conservatismes. L’appel a notamment été signé par les fédérations Sud Commerce et Education, plusieurs sections départementales Sud-Education, la CGT-Education du 93, l’UNEF à Nanterre, la fédération Sud-PTT, la CGT de l’ex-usine Goodyear, Sud-Rail Saint-Lazare, sans oublier le « collectif Justice pour Théo » monté par l’extrême-gauche ou le Droit au logement, bref, toute la frange syndicale et politique qui partage les idées de l’ultra-gauche et est favorable à une révolution pour conjurer le péril du FN, du conservatisme ou du libéralisme au pouvoir.

    Dimanche 23 avril, le jour du premier tour, l’ultra-gauche a déjà prévu deux événements « festifs » dans le centre-ville, un rassemblement autour d’un faux candidat au Bouffay à 10h, et un concours de banderoles à midi. En soirée – bien avant la fermeture des bureaux de vote – le festif fait place au combat puisque rendez-vous est donné place du Bouffay à 18 h.

    Plusieurs détournements d’affiches réalisés par des militants d’ultra-gauche et compilés dans un Tumblr proches de la mouvance explicitent le but de cette manif : « RDV le 23 avril à 18h place Bouffay pour que la rue vire tout le reste de la clique ! Ingouvernables » pour l’une, « Je vais tout nikeeeeeeeer… le soir du 23 avril ! 1er tour des élections / RDV à Bouffay » pour une seconde, « Le dimanche 23 avril, tous et toutes à 18h place Bouffay pour retrouver le goût du printemps dernier ! / La rue est à nous » pour une troisième qui rappelle la casse et le pillage de mars à juin dernier à Nantes, etc.

    Des rassemblements similaires sont prévus dans d’autres grandes villes où l’ultra-gauche est implantée, notamment Rennes, Brest et Caen.

    election

    Un risque notable d’émeutes et de perturbation des bureaux de vote

    « Sous le couvert de la fête, ils veulent la guerre », remarque un policier nantais. « Ils veulent clairement l’émeute, et s’organisent pour cela avec les quartiers sensibles ».

    A Nantes, via les marges incontrôlables de la ZAD – au point que les paysans eux-mêmes n’y arrivent plus et l’ACIPA a retiré son soutien logistique à la frange anarchiste, une convergence a été organisée entre ultra-gauche et certains quartiers sensibles, notamment Bellevue, le Breil ou encore les Dervallières. Ce dernier sert en partie de vivier de recrutement pour les black blocks de l’ultra-gauche, selon nos informations.

    La convergence de l’ultra-gauche et des bandes ethniques est organisée localement par un pool de quatre personnes, toutes connues défavorablement des forces de l’ordre pour délits de droit commun ; l’une d’elles fait même l’objet d’une fiche S pour son activité à l’ultra-gauche. Elle a tissé des liens avec des gros bonnets de la drogue de certains quartiers sensibles, bien contents de pouvoir envoyer leurs troupes mettre le bazar en ville… ce qui aura comme effet immédiat d’éloigner la police du juteux « bizness » dans les cités.

    Toujours selon nos informations, des perturbations dans les bureaux de vote sont prévues par des bandes d’ultra-gauche qui graviteraient en marge des événements « festifs » du dimanche matin et midi. « Le principe est simple : on entre à cinq six, on casse tout, on fout l’urne par terre et des baffes aux électeurs et on se casse », résume un militant anarchiste. Des bureaux de vote situés tant dans le centre de Nantes que son agglomération seraient visés ; plusieurs ont déjà été repérés à l’avance car ils sont faciles d’accès ou permettent de s’esquiver dans plusieurs directions possibles une fois le raid commis.

    Des émeutes sont prévues en ville, « même sans attendre 18 h d’ailleurs », dans l’hyper-centre, mais aussi plusieurs quartiers habituellement épargnés : Olivettes-Madeleine, Viarme, Hauts-Pavés – Saint-Félix, Graslin.

    Selon nos informations, pendant que certains casseront et brûleront tout ce qu’ils peuvent – la grève des éboueurs tombe à pic, le matériel pour les barricades enflammées jonche littéralement les rues de Nantes, « il n’y a plus qu’à enflammer les tas d’ordures », d’autres en profiteront pour « niquer les bourges » en commettant des cambriolages. « C’est ça qui est intéressant : foutre assez de bordel en ville pour pouvoir se remplir les fouilles et reprendre ce qu’ils ont piqué au peuple. Et puis si on ne fait pas ça, ça n’intéresse pas les petits jeunes des quartiers », nous confie un militant. « Puis il faut du flouze pour financer le mouvement dans la durée, car on n’aura pas fait la révolution le 23 avril », complète-t-il avec cynisme. Au printemps dernier, en plus de la casse en ville, du pillage du Go Sport place Bretagne, il y a eu au moins deux tentatives de pillage de bar-tabac en marge des émeutes en ville. Les émeutiers s’étaient aussi attaqués à une sandwicherie et à un café place du Bouffay.

    Le mouvement émeutier du 23 avril serait poursuivi, dès la fin des vacances, par un blocus de certains lycées. Sont concernés les lycées Monge-la-Chauvinière (quartiers nord), Camus (Bellevue), Mandela (Ile de Nantes, avec beaucoup d’élèves qui viennent de Malakoff), la Colinière (Doulon, avec beaucoup d’élèves issus de la Bottière), Jean Perrin (Château de Rezé) ou encore la Joliverie (Nantes-sud). Ils sont tous situés dans des quartiers "très sensibles" ou accueillent nombre d’élèves qui en sont issus.

    Louis Moulin